Le pire, c'est que je n'arrive pas a quitter ces foutues pages, où s'enchainent sous mes doigts; des bouts de phrases qui ne veulent surement rien dire. J'ai l'impression d'avoir autre chose à vivre. Pleinement. De profiter. De laisser de coté les doutes, et les failles que l'on aperçoit sur la paroie de ma confiance. Celle qui semble avoir vu le jour, il y a quelques mois. Celle, qu'il arrive tant a faire ressortir de ce corps. Trop fin soit-il. Je ne veux pas laisser le temps m'échapper, aujourd'hui, il. Il se joue de nous; et se prend pour le vent en se glissant entre nos mains. Je me demande simplement, si. On peut prétendre avoir assez de force et de courage pour affronter, ce qui peut nous attendre. Et pourtant; je meurs d'envie d'y croire.