Quatre. Cinq. Six. On compte les heures, les minutes ou bien les semaines. Qui nous sépare. Qui nous éloigne un peu plus à chaque fois. A chaque pas. Ou peut être celles qui nous rapproche. De. Je ne sais plus très bien ou me placer, même si j'ai trouvé l'endroit où je me sens le mieux. Et alors que l'on fait des projets, j'en vois qui tombent en cendre, que le vent balaie doucement. Il m'en fou dans les yeux au passage, pour me rappeler combien elle souffre, de ma faute. De ma faute à toi. Le pire. Ce n'est rien. Juste un peu, peut être deux, ouvrir la bouche et. Juste oser. Ce n'est pas n'importe qui c'est. Celle qui. Je peux, je pourrais. Si seulement j'avais la capacité de tout arranger. Elle me dit que je l'ai. Je n'ai qu'a la trouver. Huit. Sept. Six. Je l'attends, impatiemment. Parce que finalement, oui. Je voudrais encore avoir ses bras autour de moi.
Quelques mots.
Par Dimanche 23 mai 2010 à 22:03
le "Parce que finalement oui, je voudrais avoir ses bras autour de moi". Ca semble tragique, et irrésolvable, ca semble un trou noir ou une fallaise immense, ce genre d'histoire. C'est se sentir vide, se sentir creuse, avoir besoin d'un autre, avoir besoin d'un seul, le seul qui peut combler le manque.
Je me sens seumle le soir et je pense à lui, qui pourrait bien me poser les mains sur la taille. Et le problème, dans toute cette improbable non-histoire, c'est que je ne vois nul autre qui puisse le remplacer.
Je me sens seumle le soir et je pense à lui, qui pourrait bien me poser les mains sur la taille. Et le problème, dans toute cette improbable non-histoire, c'est que je ne vois nul autre qui puisse le remplacer.
Par Lundi 24 mai 2010 à 10:21
le La dernière photo me plaît beaucoup !
Ses bras autour de moi, encore. Je comprends. Je comprends tellement que ça en devient étouffant.
Non pas que je subis une rupture. Plutôt qu'il est repartit dans son pays, le pays de Galle et que maintenant je me retrouve seule à Paris. Il revient en septembre, pour une semaine, mais avant ça : "je voudrais encore avoir ses bras autour de moi".
Il faut s'accrocher, c'est inéluctable.
Ses bras autour de moi, encore. Je comprends. Je comprends tellement que ça en devient étouffant.
Non pas que je subis une rupture. Plutôt qu'il est repartit dans son pays, le pays de Galle et que maintenant je me retrouve seule à Paris. Il revient en septembre, pour une semaine, mais avant ça : "je voudrais encore avoir ses bras autour de moi".
Il faut s'accrocher, c'est inéluctable.
Des mots qui s`enchainent au bout des doigts.
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Beautexte :)