Mercredi 15 décembre 2010 à 7:45

Dimanche 22 août 2010 à 21:13

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Alors c'était ça. Ce goût amer et acide à la fois. C'était juste le goût de la fin, la notre.

Mercredi 18 août 2010 à 16:24

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J'étais la, sur le quai de la gare. Voie G. Le regard rivé sur son visage. Il ne me regardait pas lui, il croyait que j'étais parti, simplement, en le laissant derrière moi. Non, j'étais là, la fumée de ma cigarette le rendait encore plus flou, encore plus lointain. Le sifflet a retentit derrière moi, a m'en faire sursauter. Pauvre imbécile. Il y a eu un bruit, et cette sensation comme si on me broyait l'estomac, et que l'on marchait sur mon coeur pour qu'il explose. Finalement, le train a bougé, dans un mouvement énorme, doucement, mais ça paraissait trop rapide. C'est a ce moment là qu'il a tourné la tête pour m'apercevoir. Un sourire. Un dernier, avant de s'en aller. Un baiser envolé. J'ai ravalé mes larmes, la ligne du train était trop loin.

Mardi 17 août 2010 à 13:30

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Tu sais, c'est ça que je ne veux pas oublier. Que je refuse de perdre. Tout ça, tout. Vous.

Vendredi 13 août 2010 à 14:17

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Dis lui que rien n'est trop tard, qu'il y a toujours une solution. Arrête avec tes hypothèses, avec tes "si seulement". Elle te manque hein? Merde, regarde toi, tu n'as rien fait pour la rattraper, et maintenant. Maintenant elle est loin, et toi. Tu t'ennuie a en crever.

Jeudi 12 août 2010 à 12:49

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Je ne pensais pas que de rester plantée là, finirait par me peser. Je ne me souviens même plus la dernière fois que j'ai ressentie l'ennuie. Alors je compte. Je compte les jours qui me séparent de. Je pleure dans les bras de maman, accablée par la peur, les questions et les doutes. Je dors mal, je ne sais pas quoi faire de moi. Sans lui, je me sens seule, sans lui, j'ai peur. Et pourtant, il faut continuer, mais mon coeur se serre lorsque j'y pense. En vrai, j'ai besoin de m ' é v a d e r.

Dimanche 8 août 2010 à 23:26

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Tu vois, maintenant, je me dis que tout est flou. Je ne sais plus combien j'ai pu t'aimer. Combien je me suis confiée a toi, toutes ces choses que l'on se disait. Ce que tu m'écoutait, ce que je te consolait. Tout ce qu'on a pu partager. Ensemble. C'était ce qui comptait le plus. Etre ensemble, le reste n'avait pas d'importance. On parlait d'eux comme du décor, que rien ne pourrait nous séparer, même pas un coeur qui bat plus fort. C'est nous qui étions plus forte. A travers tout ce qu'on pouvait vivre. On était. Ensemble. Et puis, on se ressemblait, on se partageait. Je ne sais plus si j'en ai envie, de donner. Je ne sais plus comment réagir, même si. Je l'ai fait bien trop souvent mal. Maintenant, je me dis que tout est flou.

Mardi 3 août 2010 à 15:17

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Et moi, la perspective de ne pas t'avoir près de moi, me fait atrocement peur.

Mercredi 7 juillet 2010 à 21:53

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Finalement; après huit jours passés dans quelque chose de complétement différents, je suis revenue. L'amoureux m'attendait sur le quai de la gare, avec ses yeux bleus et son bronzage qui le rend beaugoss. Le calin du retour, celui parce qu'on ne s'était pas vu pendant une semaine, et que sincèrement, il m'a manqué plus que tout. Alors je lui ai raconté. Le sud; la ville, ses ruelles interminables, ses recoins qui semblent sortir d'autre part, ses centaines de café a l'ombre des bâtiments aux milles balcons. Je lui ai parlé de la plage, de la chaleur, de la couleur de la mer, et puis celle de la piscine. Lorsqu'on se réveillait de nos nuits sous le ciel parsemé d'étoile, lorsqu'on osait aborder certains sujets. Je lui ai dit combien cette semaine avait été géniale, passée avec elles, malgré les tensions parce qu'au fond, il reste l'amitié par dessus tout. Et maintenant, tout semble compliqué, même si je ne peux me séparer de ses bras et de ses "Je t'aime". Inlassablement, de toi à moi.

Jeudi 1er juillet 2010 à 21:49

Je me suis évadée a Montpellier , depuis quatre jour. J'essais de faire une overdose de soleil, de piscine, et de ruelles incroyablement belles. Je reviens lundi, et je continuerais ces beaux jours au creux de ses bras avec cette sensation de liberté qui s'est nichée au fond de mon ventre désormais.

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